Présentation de "L'Amour partagé"

Dénonce-t-on suffisamment les dégâts provoqués par les sites pornos dans la relation amoureuse?
J’ai recueilli les confidences de plusieurs jeunes femmes qui m’ont relaté les situations de détresse, de souffrance qu’elles subissaient parce que leurs partenaires voulaient reproduire avec elles les violentes pratiques sexuelles des sites pornos.
Après ces confidences, une alternative s’offrait à moi : dénoncer les violences vécues, ou tenter de décrire une passion amoureuse partagée. J’ai refusé les descriptions des sévices, craignant trop que les déplorables exemples ne deviennent sources d’inspiration.
L’amour vrai est-il encore possible? Serait-ce un sentiment galvaudé?
J’ai écrit un roman qui prend le contre-pied de ces comportements cruels pour tenter de réconforter les femmes. La passion amoureuse est possible avec un être qui partage leurs sentiments profonds.
J’ai proposé une réflexion pour faciliter la création d’une relation où se mêle tendresse, générosité, amitié et estime. La communication, le dialogue sont indispensables pour mieux se connaître. Il faut rester à l’écoute de l’autre, accepter de discuter avec confiance et sérénité, parler de son ressenti plutôt que de critiquer, ne pas omettre d’exprimer son désaccord pour éviter que des frustrations s’installent. Il faut vouloir que la relation réussisse, en un mot : croire au bonheur.
J’ai voulu briser des tabous. J’ai osé parler de sexualité. Celle qui s’invente et se réinvente à deux. Création commune faite de jeux, d’expérimentations dans une complicité d’affection, de tendresse, et de respect. Celle qui suscite des moments d’intense plaisir, de jouissance unique. L’union sexuelle est une expérience exceptionnelle lorsqu’elle devient le complément d’un profond attachement amoureux.
L’AMOUR PARTAGÉ n’est pas un livre de sentences, il raconte une histoire. Tous les épisodes sont en corrélation étroite avec les difficultés rencontrées dans un couple moderne. Comment trouver les clés pour construire un amour authentique? Sans oublier les problèmes de notre société. Vouloir s’épanouir dans des activités professionnelles est-ce compatible avec l’intimité du couple? Pourrons-nous préserver la Terre pour les générations futures?
Mon roman voudrait transmettre la joie de vivre, le plaisir, l’aspiration à la culture et au bonheur.

Première page de "L'Amour partagé"

Il avait réservé une table dans le coin discret d'un restaurant réputé. Il est assis face à elle, souriant, charmeur, menant une conversation plaisante. À la moitié du repas, il la regarde fixement et énonce une étrange proposition.
- Je cherche un ventre et un peu d’ADN.
Elle dépose son couvert, jette un coup d’œil rapide autour d’elle. L’atmosphère ouatée du restaurant n’a pas changé, elle perçoit les tables élégantes, les convives sérieux ou enjoués. Non, elle ne vit pas un cauchemar!
- Pardon, je ne crois pas vous avoir bien compris.
- Je pense m’être clairement exprimé. Je voudrais un enfant, que j’élèverai seul, sans les complications qu'apporte une femme.
Claire le regarde incrédule. Plaisante-t-il?
- De plus longues explications sont-elles nécessaires? Je vous ai choisie parce que vous correspondez au type de mère génitrice que je souhaite. Je ne demande pas une réponse immédiate, j’admets une dizaine de jours de réflexion. Bien entendu, une compensation financière est prévue. Je sais que vous êtes seule, sans appui familial.
Elle l’examine, retrouve son physique d’homme séduisant, son visage agréable, toujours assez sérieux. En suivant ses cours, Claire s’était fait une opinion excellente de ce professeur de biologie moléculaire, bon pédagogue, toujours calme et rigoureux, précis dans les explications, pratiquant tests et travaux avec une grande honnêteté intellectuelle. Claire l’admirait.
Et puis, brusquement, tout bascule. Après quelques secondes d’étonnement, l’image parfaite s’effondre. Elle ne correspond pas à la réalité. Le choc est violent. Une rage envahit Claire. Pour qui se prend-il? Qui est-il pour avoir de telles prétentions? Quelle conception des femmes! Une impression de dégoût, de mépris s’accompagne de nausées. Poursuivre le repas est impossible.
- Je voudrais rentrer.
- Ma proposition vous déplaît à ce point? Vous avez tort d’interrompre. Les desserts sont délicieux ici.
Comment peut-on manger quand on a envie de vomir?
- Non merci, je me sens horriblement fatiguée. Je voudrais rentrer chez moi.
- Bon, je règle tout et je vous reconduis.
Dans la voiture, elle est incapable de soutenir une conversation. Il désire un autre rendez-vous. Claire refuse.
- Non, je crois que c’est inutile.
Revenue chez elle après une glaciale salutation, elle se questionne. Comment a-t-il pu lui proposer ce marché? Quel comportement a-t-elle eu pour lui permettre une telle conduite? Effondrement de ses illusions, effondrement de sa confiance dans un maître qu’elle appréciait et respectait. (...)

Extraits de "L'Amour partagé"

(…) p. 11
La botanique lui est apparue comme un sujet passionnant : la vie des plantes, animées d’une énergie vitale inépuisable puisqu’elle a traversé toute l’histoire de notre planète, lui semblait miraculeuse. Petite fille, elle était longtemps restée subjuguée par une jeune pousse qui s’efforçait de déjouer tous les plans destructeurs. Dans la maison de Grand-père, un escalier séparait la terrasse du jardin. Dans le creux d’une marche, entre les pierres, une branche avec trois feuilles avait surgi. Sa tante l’avait arrachée. Une bouture était réapparue huit jours plus tard. Elle avait à nouveau été supprimée. Sa tante se plaignait, il faudrait atteindre la racine et pour cela démonter la marche. Grand-père trouvait inutile ce genre d’activité. Et la lutte continuait, de semaines en semaines, du printemps à l’automne. Un produit nocif avait été répandu, sans résultat. Il n’était pas inquiétant, pas trop dangereux, pour les chats et chien de la maison. Rage de la tante, bonheur de Claire devant l’obstination de la nature. La vie l’emportait sur la mort.

(…) p. 27
Le spectacle de la nature amène toujours une profonde réjouissance. Elle aime l’arbre, c'est probablement le plus bel élément apparu sur terre. Profondément ancré dans le sol, il garantit notre respiration. Il est le témoin de notre histoire. Dressé vers le ciel, tendu vers le haut pour mieux atteindre la lumière, il écarte ses branches pour permettre au feuillage de capter l’énergie solaire et assurer la photosynthèse. L'arbre produit les réactions chimiques qui le feront encore grandir et se répandre dans l’environnement.
Claire admire toujours la puissance du tronc. Elle reste passionnée par l'écorce, la peau protectrice des canaux intérieurs qui amènent la sève dans toute la frondaison. Elle aime observer l'épaisseur rugueuse, le dessin des sillons, les coloris tellement variés. Son admiration erre sur les nuances : gris clair, gris vert, gris brun, gris noir... Tonalités multiples, raffinées dans leurs déclinaisons. Un jour, peut-être, quand elle aura une grande maison, elle collectionnera des fragments d'écorce, recueillis sur les troncs tombés. L'arbre est beau, dressé dans toute sa majesté, solide avec les racines éparpillées autour de lui et profondément enfoncées dans la terre. Il symbolise quoi? La pérennité de la vie. Ce sont nos ancêtres. Peut-être seront-ils nos seuls descendants? Certains livres de science-fiction envisagent cette évolution.

(...) p. 29
Elle succombe à la jouissance, éblouie, étonnée aussi par les sensations multiples qui l’enveloppent. Dans l'esprit de Claire, tout s'efface. Dominée par des désirs puissants, elle accueille l'extraordinaire feu d’artifice. Que ce moment dure longtemps! Qu'il soit éternel! Elle se sent légère. Elle a perdu toute impression de matérialité. Seule existe cette immense vague foudroyante. Vague qui envahit, recouvre, transporte, pénètre sa chair et son esprit. Elle s'abandonne complètement, découvre avec étonnement, avec émerveillement aussi, ce qu'un corps peut vivre. Une nouvelle conscience s’éveille. Elle est passée dans un autre monde, dans un autre univers. La pesanteur physique a disparu, elle est absorbée dans une plénitude sensuelle unique.

(…) p. 67
Claire, avec une joie sensuelle, parcourt le dos d'Hubert. Les épaules rondes et vigoureuses, la base du cou plus tendre, l'emplacement des omoplates. Elle palpe la dureté osseuse. Ses mains insistent, compriment, impriment de lentes pressions circulaires. Ses doigts agiles suivent la colonne, descendent jusqu'aux fesses. Ici, le plaisir de Claire se fait plus intense. Sentir dans le creux de la main la robustesse des formes, pétrir les cuisses puissantes donnent à Claire l'impression de prendre possession du corps de son amant.
Alternativement, avec le bout des doigts et avec la paume ouverte et bien appuyée, Claire explore les différentes matières : muscles durs, parties osseuses, rondeurs fermes, chairs plus tendres, où peut-être un fin tissu graisseux s'est installé. Elle n'ose pas toucher au sillon profond qui sépare les fesses. Peut-être, un jour, sa langue se fera pointue pour le parcourir.
La crème onctueuse favorise le lent glissement des mouvements. Légèrement parfumée, elle n'efface pas l'odeur chaude et saine du corps. Claire a envie de fouiller les chairs d'Hubert avec ses mains, sa bouche et sa langue. Elle voudrait frotter toutes les parties de son corps sur lui. Se frotter, comme un petit chat, pour mieux le savourer, pour mieux partager ce moment de bonheur. Claire est heureuse. Caresser le corps d'Hubert lui prodigue des sensations exquises. Elle découvre l'exceptionnelle sensibilité de sa paume avide de perceptions. Elle estime que masser les formes d'Hubert, lui procure autant de jouissances que celles qu'elle lui offre.

(…) p. 147
Dès la première approche du Grand Canyon, Claire est subjuguée par l’ampleur du panorama et par l’encaissement des gorges déchiquetées. L’air particulièrement pur et transparent autorise une vision fantastique, spectaculaire du vertigineux gigantisme du canyon. Sur plus de deux milles mètres, le regard plonge pour admirer le relief des falaises. Les couches de couleurs différentes correspondent aux stades successifs de la formation géologique de la région. Sous le plateau supérieur constitué d’un calcaire blanc se superposent d’autres strates, des grès rouges intenses alternent avec le schiste argileux qui apporte des tonalités vert foncé. La paroi s’appuie à la base sur une épaisseur de granit rouge.
Le parcours capricieux des courbes multiples du fabuleux fleuve Colorado s'est creusé pendant plus de six millions d’années, dès le début de la formation du continent américain. Les strates de dépôts de calcaire et de grès ont été successivement érodées pour créer ce décor probablement unique au monde.
À plusieurs points de vue, Claire, profondément émue par la beauté du spectacle naturel, reste en contemplation de longs instants. Captivée, fascinée, elle se laisse imprégner par la splendeur du paysage.
- On a vraiment l’impression d’être ici au commencement de l’histoire de la terre. On assiste à la genèse, à l’époque où les puissantes forces naturelles ont forgé notre planète.
À chaque terrasse panoramique, de grands panneaux conçus spécialement pour les touristes donnent les indications nécessaires pour mieux comprendre le déroulement de la perspective. Claire et Hubert examinent les nombreuses photos et lisent attentivement les renseignements. Ensuite, ils s'efforcent de les reporter sur le site qui les entoure, pour mieux déchiffrer le parcours sinueux de l'eau, la forme des plateaux, l'emplacement des mines exploitées autrefois. La connaissance des lieux devient un jeu. Ils découvrent, ainsi successivement, dans les larges méandres du fleuve, des plages et des grottes naturelles qui ont servi d’habitations aux premières tribus indiennes. Des traces d’occupation ont été trouvées lors de fouilles archéologiques : empreintes d’irrigation pour la culture des légumes et des céréales indispensables, dessins rupestres, nombreuses poteries et vanneries.

(…) p .206
Au Metropolitan Museum, Claire souhaite une visite plus approfondie. Dans la section égyptienne, elle est séduite par la présentation très originale. Les sculptures en bois et en pierre, disposées en ordre chronologique, s’alignent dans une longue vitrine serpentant sur toute la profondeur d’une grande galerie. L’évolution des styles et des techniques se perçoit parfaitement. Claire s’attarde devant quelques oeuvres.
- Regarde, les corps sont généralement idéalisés, cependant les visages sont représentés avec une volonté de réalisme. La tête devient un portrait authentique, mis en valeur par un modelé très délicat. C'est pathétique! Pour survivre l’âme devait pouvoir reconnaître son double, symbolisé dans la reproduction de la physionomie du défunt.
- Certaines expressions paraissent contemporaines, observe Hubert. Celui-ci semble être la réplique exacte d'un de mes collègues. Même front buté, nez épais et lèvres charnues.
- Je suis très émue par ces représentations de couples de fonctionnaires. Devant cette statue en bois, as-tu remarqué le geste affectueux de l'épouse? Son bras entoure la taille de son compagnon? Ils devaient espérer se retrouver, ainsi, éternellement dans l'au-delà. Leur amour triomphant de la mort.
- Voudrais-tu aussi que nous soyons liés à jamais? Je préfère la position des couples étrusques, représentés sereinement étendus sur leur sarcophage, comme sur un lit moelleux, parfaitement suggéré dans la céramique.
- Je te reconnais. Tu recherche toujours la satisfaction de ton sexe.
Claire flâne en contemplation devant un fragment du visage en jaspe jaune d'une reine du Nouvel Empire. La sensibilité du modelé de la joue, le tracé délicat et ferme de la bouche gourmande révèlent une perception artistique d'une sensualité admirable.
Une salle, plongée dans une demi-obscurité, expose tout un petit matériel funéraire disposé dans un cadre restituant l'arrangement des sépultures. Il fait revivre les espérances de cette civilisation. Claire y retrouve l'angoisse humaine, la désespérance devant la finalité brutale, et l'espoir de prolonger indéfiniment les joies simples vécues sur terre.

(…) p. 250
Pendant le repos sous la petite tente, Alan s’est endormi. Claire regarde le corps bien musclé, parfaitement doré par le soleil. Un désir de caresses, de baisers l’envahit. Elle voudrait du bout des doigts effleurer Alan, explorer avec la paume de sa main, toujours si avide de sensations, la perfection des courbes. Elle voudrait promener ses lèvres, sa langue pour en savourer le goût légèrement salé, où sable et sueur s'agglutinent. Elle apprécierait les différentes textures de la peau, plus épaisse aux épaules et sur le thorax, plus douce et fine, sous les aisselles, dans le pli de l’aine et à l’intérieur des cuisses près du sexe. Elle aimerait cajoler ce sexe, toucher le soyeux de la peau du gland, lécher le frein, parcourir le bourrelet saillant, très délicat.
Claire se remémore leur vécu érotique. Elle est certaine que les premières étreintes ont constitué pour Alan un conflit déchirant. Claire avait souvent l’impression qu’il se reprochait de suivre passionnément les élans de son désir. Claire prit conscience qu’il avait toujours exercé, sur lui, un contrôle sévère. Dans leurs premières relations, son comportement retenu frisait le puritanisme. La plénitude de la jouissance de Claire lui donna un véritable choc. Il lui fallut quelques séances pour exploser dans un embrassement voluptueux plus audacieux.
Il devint un amant incomparable. Douceur et tendresse animaient tous ses gestes, toutes les inflexions de sa voix. Préoccupé uniquement du plaisir de Claire, il en oubliait quelquefois le sien. Il était souvent surpris par le gonflement suprême de son pénis, par les spasmes des muscles éjaculateurs. Chaque fois, le jaillissement du fleuve de vie au plus profond du corps de Claire le menait vers le paroxysme de la jouissance.

Quelques commentaires de lectrices et lecteurs de "L'Amour partagé"

- "Roman bouleversant : une femme moderne veut réaliser ses aspirations, réussir sa vie professionnelle, amoureuse et familiale."

- "Les bonnes questions sont posées. C’est un livre de réflexion, il mène vers un approfondissement des problèmes essentiels du couple, il aide à placer des mots sur les émotions, sur les sentiments."

- "Intrigue très bien menée, les hommes sont compris, pas de féminisme primaire, les exigences d’une femme moderne sont analysées."

- "Histoire captivante, très prenante, très forte, se lit d’une traite, j’ai prolongé ma lecture tard dans la nuit."

- "J’aime les touches de couleurs culturelles, politiques ou féministes qui colorent le récit."

- "Le livre apporte une vraie recette pour le bonheur."

- "Après la lecture, j’ai eu pour la première fois une discussion approfondie avec ma fille, j’ai compris et admis son divorce".

- "Si j’avais lu ce livre, il y a vingt ans, ma vie aurait été différente."

- "Je suis bouleversé, j’ai 82 ans, j’ai beaucoup à me reprocher. J’aimais ma femme, mais je réalise que j’ai été très égoïste. Pour avoir un bon rapport, il faut être satisfait des deux côtés. Maintenant c’est trop tard, elle est morte. Le vrai problème, l’homme ne pense pas assez à sa compagne. Tous les hommes devraient lire votre livre à 20 ans. Je le considère comme une bible pour être heureux et rendre heureuse sa femme."

- "C’est le langage d’une femme décrivant les rapports sexuels comme le vit une femme heureuse de combler les désirs érotiques de son compagnon."

- "Le roman dévoile la découverte de l’érotisme, du plaisir sensuel, des joies apportées par une vie amoureuse partagée."

- "Après la lecture de votre livre, j’ai acheté de l’huile parfumée pour masser mon compagnon."

- "J’ai été surpris, renversé, "skotché" même, par le rythme du récit dès l’accroche originelle de l’incipit, par l’inattendu de l’intrigue, la modernité, l’originalité et la densité de certains personnages, le tressage de questions très actuelles et de problèmes éternels. Intéressé aussi par la portée sociologique implicite de ce tableau cru de certains milieux de notre époque. Surpris aussi, jusqu’à l’hypnose, par les longues et minutieuses descriptions, scripturairement sacrément maîtrisées des jeux et plaisirs de l’amour dans la relation sexuelle, que ne désavouerait pas l’auteur du Kama Sutra."

- "Je me suis laissé emporter par l’incroyable flux d’énergie mentale qui circule tout au long de ce développement romanesque, par la succession d’images de deux continents que déroule ce scénario. J’ai été entraîné par le crépitement des dialogues souvent nerveux."

- "J’apprécie et j’admire l’enjeu de cette œuvre, cette transmission de valeurs morales et de vigueur, cette apologie sensuelle et roborative de l’amour partagé, à mille lieues d’un moralisme chagrin. Je m’émerveille que vous ayez pu offrir cela à vos descendants et à votre public. Bravo et merci."


- "Claire (l’héroïne) découvre que seul un dialogue franc et honnête permet de comprendre le fonctionnement de l’autre. C’est un livre de réflexion, il permet une maturation des caractères. Il donne une piste pour mettre des mots sur les émotions, sur les sentiments, il veut rassurer. Dans l’amour, on se sent souvent fragilisé."

- "Les problèmes cruciaux de notre monde ne sont pas oubliés : les dommages causés par les industries agroalimentaires sur la biodiversité sont abordés."

- "On apprend beaucoup sur New York, sur Chicago, les musées, les paysages, le grand Canyon, tout est visuellement décrit, les images surgissent. Ces épisodes culturels constituent une valeur ajoutée."

- "Je mets le Grand Canyon au programme de mes prochaines vacances."

- "Seul reproche, on reste sur sa faim, on se sent frustré à la dernière page, on voudrait la suite immédiatement."

- "Je suis impatiente, je voudrais connaître la suite de l’histoire."